Hommage collectif dans la blogosphère et ailleurs à Baschung,
Ironie du sort ; il meurt durant le printemps des poètes,
lui qui en était un grand.
Des textes plus beaux les uns que les autres.
Et des musiques qui emportent.
Impression qu'il a toujours été là depuis l'enfance.
Voici une poésie qu'Inès a apprise à l'école la semaine dernière
Elle m'a plu tout de suite,
et je me suis dis qu'elle pouvait symboliser l'Après.
A L'aube
A l'aube d'un jour proche
désormais je courrai
sur l'herbe trempée de rosée
à la recherche de l'endroit
ou naît l'arc-en-ciel.
Et je vous appellerai,
Peuple des Hommes,
joyeux messager d'une fête solaire.
Nous monterons sur les collines
et nous planterons les drapeaux
de plumes et de vent.
Tashunka Tunkashila
Elle est en quelle classe Inés pour apprendre des poésies à tomber comme celle là ....
RépondreSupprimer(peux tu me donner ton adresse mail pour répondre à ta question cuisine séparement...)
C'est vrai que sa maîtresse a de bonnes idées.
RépondreSupprimersophie.gault@dbmail.com
Je suis triste,c'est une partie de ma jeunesse.......
RépondreSupprimerBisous du soir
Maman Mule
Tout simplement magnifique !
RépondreSupprimerbonne journée ensoleilleé les cocottes
madeleine
http://lesfillesdemadeleine.blogspot.com